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Résultats 1 à 20 sur 599 triés par pertinence — trier par date

Commission des affaires étrangères - Intervention le 17/07/2012

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Pierre Lellouche

La priorité, c'est assurément le redressement économique de la France, qui conditionne son poids diplomatique dans un système mondialisé. Je n'ai cependant pas trouvé dans vos propos de colonne vertébrale, de ligne forte pour la politique étrangère de la France. Votre exposé m'a paru flou et plat – sans doute le musclerez-vous dans les mois qui viennent. En quoi votre politique étrangère sera-t-elle différente ? Peut-elle l'être ?Qu'allez-vous faire vis-à-vis de l'OTAN ? Avez-vous changé de position depuis l'époque où vous critiquiez la réintégration de la France dans le commandement intégré ?Le Premier ministre a déclaré que vous aviez ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 11/09/2012

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Pierre Lellouche

… mais que son avis sera « crucial ». Quel aveu ! La France doit donc attendre la décision de la Cour constitutionnelle allemande pour savoir si le traité pourra être maintenu et ratifié ! Quel changement dans le centre de gravité entre notre pays et l'Allemagne !

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Commission des affaires européennes - Intervention le 25/09/2012

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Pierre Lellouche

Bernard Cazeneuve sait l'estime que m'inspirent ses qualités intellectuelles, ses qualités de bretteur et de pédagogue, mais je dois lui dire avec solennité que notre économie va mal, que la compétitivité de la France se dégrade de jour en jour et que le chômage ne cesse d'augmenter. On peut croire que la situation est due à la politique européenne et à ce qu'on appelle la « rigueur », ou considérer, au contraire, qu'elle s'est imposée parce que nous avons vécu à crédit et accumulé les déficits. C'est parce que certains pays s'étaient affranchis de la discipline budgétaire européenne, c'est parce que nous sommes tous en déficit excessif que, pour ...

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Commission des affaires européennes - Intervention le 25/09/2012

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Pierre Lellouche

Madame la Présidente, n'y a-t-il pas là un problème de procédure ? Cela mérite un rappel au règlement !

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Commission des affaires européennes - Intervention le 25/09/2012

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Pierre Lellouche

Il est très surprenant que la présidente d'une commission exprime une position personnelle et au nom de son groupe en appelant à l'abstention, alors même qu'elle est membre d'une majorité qui vote différemment. C'est la première fois que je vois cela en cinq mandats parlementaires !

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 10/07/2012

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Pierre Lellouche

Je commencerai, monsieur le ministre délégué, par un point d'accord : la Commission européenne et le Parlement européen ne peuvent demander aux différents pays de se serrer la ceinture, tout en continuant d'augmenter leurs propres budgets à hauteur de 6 % par an.Dans sa déclaration de politique générale, M. le Premier ministre a jugé que le dernier Conseil européen marquait un « tournant », et que le Président de la République avait « fait bouger les lignes » en Europe. Aujourd'hui, vous vous bornez à évoquer une « étape ». La rhétorique du Président de la République a elle-même évolué par rapport à celle du candidat, qui rejetait sans ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 11/09/2012

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Pierre Lellouche

Telle a été l'absence de visibilité de la France sur le plan international cet été – et ce n'est qu'une des facettes du sentiment d'immobilisme donné par le Gouvernement – que vous entendre décrire une diplomatie française surmultipliée donnait une impression d'irréalité. Alors que les crises – Israël-Iran, Asie du Sud-Est, Syrie – s'accumulaient, la présidence française du Conseil de sécurité des Nations Unies est passée inaperçue, et il a fallu attendre la troisième semaine d'août pour que vous vous rendiez dans les pays voisins de la Syrie, où bien d'autres ministres et chefs d'Etat s'étaient déjà déplacés.

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 11/09/2012

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Pierre Lellouche

Le chef de l'État n'est pas davantage intervenu. Vous avez insisté sur les opérations humanitaires menées en Syrie, mais la guerre continue, les zones tampon ne sont pas protégées, et vous avez refusé d'ouvrir le débat sur l'éventuelle levée de l'embargo européen sur les armes. Sur ces questions de fond, on n'a rien entendu de la France - mais, selon vous, tout va bien.La situation est tout aussi surréaliste pour ce qui concerne l'Europe. Alors que vous étiez jadis le leader de ceux qui, au sein du parti socialiste, se sont prononcés en faveur du « non » lors du référendum sur le traité constitutionnel – position qui était aussi celle de votre ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 11/09/2012

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Pierre Lellouche

En matière économique, il faut avoir le courage de dire aux Français que nous sommes en train de décrocher. Je le dis sans agressivité et sans plaisir : loin de la présentation élégante et policée que vous faites de l'activité diplomatique de la France, votre action se limite en Syrie à un discours humanitaire, et il est flagrant que ce n'est pas la France qui pilote le navire européen dans un moment de tempête. Nous sommes réduits à l'état de spectateurs, ce qui ne vous empêche pas d'afficher une autosatisfaction marquée.

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 03/10/2012

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Pierre Lellouche

Mon ami Hubert Védrine a l'honnêteté intellectuelle de prendre l'exacte mesure de son mandat – faire le point sur une décision sur laquelle on a déjà décidé qu'on ne reviendrait pas – et de reconnaître que, de toute façon, ce n'est plus la même Alliance. C'est d'ailleurs l'argument que j'avais développé dans L'Allié indocile, un livre sur les relations franco-américaines et sur le retour de la France dans l'OTAN.Nous avons récemment assisté à un débat à fronts renversés. En 1966, la gauche et François Mitterrand étaient de farouches partisans du maintien de la France dans l'OTAN, tandis que les gaullistes militaient pour la sortie. Or, il ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 15/01/2013

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Pierre Lellouche, président du groupe de travail

Pierre Lellouche Ce groupe a une utilité immédiate et notre voyage prend une coloration particulière après la décision du Président de la République d'engager nos forces.En posant la question brutalement, on pourrait tout d'abord se demander si l'Etat malien existe vraiment. Aujourd'hui, il suffit que le capitaine Sanogo le demande pour qu'on change de Premier ministre et de toute façon les autorités actuelles ont un mandat transitoire qui s'achève le 4 avril.De la même façon, on peut s'interroger sur l'armée malienne, dont chacun s'accorde à reconnaître l'extrême faiblesse, l'ensemble des interlocuteurs maliens que nous avons rencontrés à Bamako en premier lieu. C'est ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 16/01/2013

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Pierre Lellouche

L'entrée de la Croatie dans l'Union européenne est un moment émouvant. Toutefois, au moment où le Royaume-Uni s'apprête à en sortir, on voit que l'Europe s'enrichit… Mon expérience ministérielle avec la Roumanie et la Bulgarie m'a montré que ces pays ne sont pas prêts. Je crains que nous ratifiions sous la pression de la machine bruxelloise qui coche des cases sans tenir compte de la réalité.Je suggère que notre Commission émette un voeu lors de la ratification car c'est le moment de soulever certaines questions institutionnelles. Lorsque la France a besoin de ses partenaires européens – je pense au Mali –, il n'y a personne ! Il faut ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 16/01/2013

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Pierre Lellouche

L'histoire n'est pas un critère pour entrer dans l'UE. Mais puisqu'on a construit l'UE à cause de l'histoire, il n'est pas absurde de parler de l'histoire de la Croatie au moment où on ratifie son adhésion.Par ailleurs, les Etats peuvent-ils s'opposer à la Commission ? Je l'ai fait quand j'étais au gouvernement. J'ai stoppé l'entrée de la Bulgarie et de la Roumanie dans Schengen. Mais c'est toujours difficile pour un Etat d'arrêter la machine infernale cotonneuse de la Commission ; les autres Etats ont tendance à faire porter la responsabilité sur celui qui dit la vérité.Je voudrais dire, très amicalement, à notre Présidente, qu'elle a raison en ce qui ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 15/01/2013

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Pierre Lellouche

Vous savez maintenant quels seront les moyens mis à la disposition de l'intervention française destinée à fédérer la reconquête du Nord du Mali. Combien de temps vous faudra-t-il pour reconstruire un programme de développement pour cette région ?

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 16/01/2013

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Pierre Lellouche

Alors que l'Organisation de la conférence islamique – OCI – se met à tenir des propos désagréables, de même que le président Marzouki – qui a pourtant été accueilli en grande pompe par le président de l'Assemblée nationale –, comment pensez-vous que le monde arabe apprécie l'évolution de la situation ?N'est-il pas temps pour le Président de la République de demander la réunion rapide d'un sommet européen, de façon à placer les dirigeants de l'Union devant leurs responsabilités ? Et pourquoi ne pas en faire autant, la semaine prochaine, avec nos amis allemands ? L'Europe nous coûte 20 milliards d'euros de contributions nettes ; il ...

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