L'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) dispose d'un représentant au conseil d'administration de l'AFB, mais ni le Gouvernement ni le Parlement n'ont souhaité que l'ONCFS soit intégré dans l'AFB. D'une part, cela aurait pu créer une forme de déséquilibre au sein de l'AFB, compte tenu de l'activité cynégétique dominante de l'ONCFS. D'autre part, les chasseurs étaient localement peu enclins à accepter cette intégration. Néanmoins, il a été convenu de mener un travail en commun avec l'ONCFS.Je n'ignore ni les tensions ni les difficultés ; j'ai entendu les positions exprimées notamment par la Fédération nationale des chasseurs (FNC). ...
Monsieur le président, mes chers collègues, c'est le 14 septembre 2012, lors de la première Conférence environnementale, que le Président de la République a annoncé la création d'une agence destinée à préserver notre biodiversité.Soutenue par plusieurs ministres – un temps par moi-même –, puis menée jusqu'à son terme par la ministre Mme Ségolène Royal et la secrétaire d'État Mme Barbara Pompili, la création de l'Agence française pour la biodiversité est une réponse concrète à l'enjeu que représente la perte de biodiversité. Une réponse rendue possible par l'adoption de la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de ...
Et supprimer 500 000 fonctionnaires, cela n’aura aucun effet ?
Très bien !
Et les assurances privées ?
Minable ! C’est honteux !
Seuls une quinzaine d'États, principalement insulaires, ont déposé les instruments de ratification de l'Accord. Monsieur Pierre Radanne, pensez-vous qu'un mouvement de dépôt de ces instruments va s'enclencher ?L'Accord n'entrera en vigueur qu'en 2020 : que se va-t-il se passer dans les quatre prochaines années ?Quelles thématiques le plan national français doit-il privilégier pour être à la hauteur des ambitions de l'Accord de Paris ?
Je veux me faire l’écho de leur angoisse et de leurs attentes. Beaucoup craignent de ne pouvoir surmonter, moralement et financièrement, cette nouvelle épreuve qui frappe des agriculteurs souvent modestes.Pour que personne ne reste sur le bord de la route, il faut au moins trois mesures : limiter l’impact économique des mesures sanitaires, en autorisant une reprise de leur activité le plus rapidement possible ; apporter, en particulier aux petits et aux indépendants, une juste et rapide indemnisation pour leurs pertes de revenus ; les aider à restructurer cette filière grâce à des investissements qui la rendront demain plus forte et plus sûre.Pouvez-vous nous ...
Monsieur le ministre de l’agriculture, vous savez de qui je veux parler : des éleveurs, des producteurs, des accouveurs et des gaveurs de la filière foie gras, du Gers notamment.
Nous voulons la remercier pour les combats emblématiques que nous avons menés à ses côtés, qu’il s’agisse du mariage pour tous, de la lutte contre le terrorisme ou pour la réforme de la justice. Je veux également dire notre confiance à Jean-Jacques Urvoas, qui oeuvrera à son tour au service de la justice et des Français.
Ma question s’adresse au ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, mais je voudrais saluer auparavant, au nom de notre groupe, la parfaite collaboration qui a uni pendant quatre ans les parlementaires socialistes, républicains et citoyens à Christiane Taubira.
Sur le fond, ma question porte sur le bilan que vous tirez de ces treize jours de négociations. Quelles sont, monsieur le ministre, les grandes avancées que contient l’accord de Paris ?Mes chers collègues, samedi dernier, au Bourget, le Président de la République nous a dit que l’histoire était écrite par ceux qui s’engagent, pas par ceux qui calculent. Monsieur le ministre, avec cet accord, pouvez-nous dire comment nous allons engager la France dans la voie de la justice climatique ?
Monsieur le ministre des affaires étrangères et du développement international, nous sommes quelques-uns, sur tous les bancs, à avoir vécu l’échec du sommet sur le climat de Copenhague et les six années de doute et d’abattement qui ont suivi. Comment ne pas mesurer, tant sur la forme que sur le fond, les progrès qui ont rendu possible ce succès historique que constitue l’accord de Paris sur le climat, un accord attendu depuis plus de quarante ans ?Sur la forme, je veux, au nom de notre groupe, saluer l’engagement total du Président de la République, féliciter le Gouvernement pour sa mobilisation et à vous, monsieur le ministre des affaires étrangères, ...
Je voudrais tout d’abord dire combien c’est une chance pour l’Assemblée nationale d’avoir un grand président comme Claude Bartolone.
Nous sommes à la veille de la COP21 et la lutte contre le réchauffement climatique fait partie de l'agenda prioritaire des États. Le transport aérien représente 3 % des émissions de CO2 et contribue à hauteur de 6 % au réchauffement climatique. Comment le rendre compatible avec les impératifs climatiques et diviser les émissions de CO2 par quatre d'ici à 2050 ? Comment évaluez-vous l'impact de la suppression de la défiscalisation du kérosène pour les vols intérieurs ?
Les ventes de Rafale, par exemple !