Ce n'est pas depuis juin !
Il aurait fallu qu'on soit élus avant !
Sciences Po est l'un des maillons importants de la formation supérieure dans notre pays. Sa spécificité doit être préservée, mais il faut que le calme et la mesure reviennent rapidement.Même si la proportion d'élèves boursiers s'est accrue, elle demeure insuffisante. Les conventions avec les établissements des ZEP ont conduit à une légère modification du recrutement, mais elles ont concerné moins de 900 élèves en dix ans. Le volet social ne relèverait-il pas des « bonnes oeuvres » ? En effet, les frais de scolarité grimpent mais en même temps, on annonce qu'il y a davantage d'étudiants boursiers…Quelles mesures prendre pour mieux assurer ...
Quelle suspicion permanente !
Mais quelle vision avez-vous des salariés ?
Ça n'a rien à voir !
Ma question, à laquelle j'associe notre collègue Christian Assaf, s'adresse à M. le ministre délégué chargé de la ville.Monsieur le ministre, après des années d'atermoiement sous la précédente majorité, vous avez pris à bras-le-corps la question du retour de l'État dans les quartiers de nos villes. Je salue ici votre méthode, celle de la concertation la plus large réunissant aussi bien les techniciens que les associations et les habitants. (« Allô ! Allô ! » sur les bancs du groupe UMP.) Cette concertation a été efficace, puisque l'essentiel des préconisations qui en sont issues ont été retenues par le Comité interministériel des villes ...
Nous sommes tellement habitués !
Ce n'est pas vrai !
Je veux dire à mon collègue, qui a affirmé tout à l'heure…
Madame la présidente, monsieur le ministre, chers collègues, si nous sommes aujourd'hui mobilisés par et pour la refondation de l'école de la République, c'est d'une part parce qu'il s'agissait d'un engagement de notre majorité devant les Français, mais c'est aussi parce qu'il s'agit d'une impérieuse nécessité pour notre pays.Je n'aurai pas l'outrecuidance de rappeler à nos collègues de droite les mouvements sociaux, lycéens et enseignants qui ont émaillé le mois de mars 2005 contre la réforme Fillon de l'éducation.
Cependant, je trouve que certaines critiques émanant des bancs de l'opposition sont savoureuses. Les observateurs mesurent bien le gouffre qui sépare les différents démantèlements de l'appareil éducatif français conduits par les gouvernements de droite et la refondation que nous allons décider. Même si une décennie de casse scolaire vient de s'achever il y a seulement quelques mois, nous pouvons tout de même en mesurer les conséquences désastreuses. Dix années de droite, c'est long pour la France !
Dix années, c'est aussi la durée de la scolarité d'un élève entre l'entrée en primaire et l'entrée au lycée. Durant ces dix années, un élève aura connu la déstabilisation en profondeur de l'institution et la relégation du budget de l'éducation nationale au rang de variable d'ajustement. Ainsi, pour chaque élève de primaire, notre pays dépensait 15 % de moins que la moyenne européenne. Le même élève aura connu un collège méprisé et stigmatisé, ainsi qu'un lycée déstabilisé et dévalorisé.C'est contre ces fléaux que nous voulons lutter avec la réhabilitation des RASED et la rénovation des réponses aux handicaps ou aux besoins ...
Comme partout, il y a les bons et les mauvais élèves !
Monsieur le le ministre délégué chargé de l'agroalimentaire, ma question s'adresse à M. le ministre de l'intérieur et porte sur la situation spécifique des forces de l'ordre dans le bassin d'Avignon.Au confluent de trois départements et deux régions, Avignon et le Vaucluse connaissent une criminalité importante car les délinquants se jouent des limites administratives. Centre touristique majeur, Avignon connaît toute l'année une fréquentation importante de touristes venus du monde entier. Cela implique une mobilisation majeure des forces de police que je salue par l'intermédiaire de leur ministre.De plus, le bassin de vie d'Avignon dispose d'un ...
Je vous remercie de votre réponse, monsieur le ministre, mais je n'aurai de cesse de demander de porter l'attention sur les situations particulières, notamment celles que j'ai évoquées, et de ne pas seulement tenir compte du nombre d'habitants de cette zone.