Mesdames et messieurs les membres du Gouvernement, depuis 2008 la France vit une crise économique majeure. Cette crise, vous l'avez découverte fort opportunément après le second tour des élections législatives. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Cette crise, nous ne la nions pas, mais elle s'ajoute désormais à une autre difficulté : votre action qui met l'économie française à l'arrêt.Ce sont nos entreprises agricoles, artisanales, commerciales, industrielles et de services qui créent la richesse et l'emploi. Face à leurs difficultés, quel discours tenez-vous ? Il peut se résumer en cinq mots : impôts, charges, contraintes, pénalités et ...
Ce texte sera de toute façon abrogé dans quatre ans et six mois.
Vous oubliez la crise !
Pas tout à fait !
Vous les maintenez !
Où est passé le déficit structurel ?
On a le droit de ne pas être d'accord !
Défendez plutôt votre politique ! Au moins, essayez d'en avoir une !
C'est l'excès de prélèvements obligatoires qui est nuisible, madame !
On va rigoler au congrès des maires !
Soyez respectueux !
Il n'y avait pas de crise ?
Parlez donc de la France !
Il n'y a pas eu de crise ?
Rendez-vous dans un an !
C'est minable !