Les amendements de Jacques Myard pour ce dossier

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Nos forces sont engagées sur de nombreux théâtres d’opérations et je tiens à saluer un professionnalisme qui, parfois, mène certains soldats au sacrifice suprême.

Il n’en reste pas moins que notre hémicycle, monsieur le président, est vide ! Il est vide ! Comment se fait-il, alors que la situation devient tragique, que nos collègues ne soient pas ici tous présents ?

Ce n’est pas tout à fait acceptable. Nos chers collègues absents se désintéressent-ils de la défense ? Je ne le crois pas, non. En revanche, il est clair que la méthode retenue pour nos débats – commission élargie et pas de discussion en séance publique – n’est pas à la hauteur des enjeux.

Je tiens à émettre une vive protestation. La défense est un thème régalien par excellence : il y va de l’avenir de tous et de la garantie de notre indépendance. En conséquence, au-delà de la baisse des crédits que chacun, ici, regrette, notre façon de débattre s’est dégradée et ce n’est pas acceptable. Je tenais à le rappeler à tous !

Ils s’appuient sur l’idée qu’un monde non nucléarisé est un monde plus sûr. Mon cher collègue, l’atome rend sage. Si vous ne disposez plus de la force de dissuasion, la France sera en position d’infériorité. C’est extrêmement dangereux parce que la dissuasion nucléaire permet de rétablir un certain équilibre entre des États qui ont une capacité...