C'est la raison pour laquelle que je vous ai interrogée, madame la garde des sceaux. Je vous relis la phrase du Président de la République : « Ce texte n'a pas pour objet d'autoriser l'octroi de la nationalité à un enfant qui ne la possèderait pas déjà ni celui de modifier la filiation de l'enfant ». (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)