Cette somme a permis à la BEI d’accroître de 60 milliards d’euros ses soutiens à l’investissement en Europe.
Vous avez donc raison : on n’en était pas à 120 milliards mais à 60 milliards d’euros. Et c’est après avoir été élu que, sur la base des débat de la campagne électorale qu’il avait eus, en tant que candidat à l’investiture, avec les membres du Conseil européen puis devant le Parlement européen, Jean-Claude Juncker a proposé ce plan. Il s’agissait bien d’une réponse à cette attente, devenue très large, d’une politique d’investissements.
Nous considérons donc que la France doit être fière du plan Juncker, qui représente aussi un succès pour notre pays.