Il va falloir remettre en place les outils de régulation, pour tisser de nouveau un lien entre les agricultures européennes. Mais je vous signale que c’est la France qui a obtenu en septembre la tenue d’un conseil extraordinaire sur la question ; et que si la France n’en avait pas fait la demande, il n’y aurait pas eu de débat lundi dernier sur la crise ! Aujourd’hui, l’Europe sait qu’elle doit bouger ; elle a entendu le message de la France.