Je vous réponds bien volontiers, monsieur Lequiller, parce que c’est une manière d’éclairer le Parlement, mais, honnêtement, sur ces questions qui plus est, il me paraît totalement inutile de mettre en cause l’action du Président de la République, surtout à la veille d’un Conseil européen particulièrement important.
Nous entrons dans la dernière ligne droite des négociations. Demain et après-demain se tient à Bruxelles un Conseil européen qui sera notamment chargé de trouver un accord sur la question britannique.
Un accord est-il possible ? Nous le croyons et nous l’espérons, parce que le départ de la Grande-Bretagne serait un choc dont on a du mal à imaginer les conséquences pour l’Europe…