Intervention de Christian Eckert

Séance en hémicycle du 17 décembre 2015 à 9h30
Projet de loi de finances rectificative pour 2015 — Discussion générale

Christian Eckert, secrétaire d’état chargé du budget :

Ce n’est pas vous qui vous êtes exprimée ainsi, madame Fraysse, je vous l’accorde. Nous reprendrons peut-être le débat à l’extérieur ou dans la presse, ou à d’autres moments.

Je communiquerai dans la journée pour rappeler tout ce que ce gouvernement a fait dans le domaine – sans nier ce qu’il reste à faire – et expliquer pourquoi nous n’avons pas accepté, maintenant, la publicité du reporting pays par pays, qui est le seul point contesté. Ce qui a été dit est évidemment quelque peu excessif.

Je remercie moi aussi l’ensemble des services qui ont contribué à la bonne tenue de nos débats, mon cabinet, bien sûr, qui a beaucoup travaillé, les services de la commission, qui ont parfois travaillé dans des conditions difficiles, avec le dépôt tardif d’amendements. Je le sais puisque j’ai occupé quelque temps les fonctions qu’occupe aujourd’hui Valérie Rabault, que je tiens à saluer. Elle est déterminée, efficace, précise, tenace. Ce sont toujours des qualités, surtout quand on est rapporteur général, ce qui n’est pas toujours simple sur le plan personnel ou politique. Je comprends parfaitement la ténacité dont elle a fait preuve sur certains points précis, je la salue même. Elle a su aussi être à l’écoute des demandes du Gouvernement, et je tiens à le souligner.

Monsieur le président de la commission, en dépit d’un handicap physique momentané – je vous souhaite d’ailleurs un total rétablissement le plus rapide possible –, vous êtes intervenu assez peu souvent, comme tout président de commission, mais toujours à bon escient, dans le sens de l’intérêt général et pour faire progresser la discussion.

Certains parlementaires ont été très assidus et ont été présents pendant de longues heures.

Je remercie l’ensemble des services de l’hémicycle, les agents de la buvette, les huissiers, ceux qui travaillent au plateau et, bien sûr les différents présidents qui se sont succédé. Nous avons parfois fini tard, pas trop finalement. Au Sénat, la séance a été levée une fois à trois heures et demie.

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