Mais il y a aussi l’Europe, comme l’a dit le Président de la République. Que fait donc l’Europe, excepté regarder la France s’engager sur les terrains d’opération ? L’Europe doit bouger : elle doit s’assumer, et assumer ses responsabilités, notamment le contrôle aux frontières. Je veux le dire ici : nous n’avons pas besoin de Schengen 2, 3 ou 4 : le Schengen d’aujourd’hui – si nous allons jusqu’au bout – suffira à régler un certain nombre de problèmes.