S'agissant de la commission Mobilité 21, j'aimerais apporter une précision à l'excellente commissaire qu'est Mme Eva Sas. Si nous nous sommes interdit d'évoquer le projet Lyon-Turin – outre le canal Seine-Nord Europe ou l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes –, c'est parce que celui-ci relève d'un traité international à propos duquel nous n'étions pas compétents pour agir : cela ne faisait pas partie de la feuille de route définie par le ministre des transports.
Accessoirement, s'il est exact que ce projet est apparu impossible à financer, c'était dans le cadre du scénario initial, fondé sur l'hypothèse de recettes disponibles au niveau national pour l'AFITF.