La vérité, monsieur le Premier ministre, c’est que Nicolas Sarkozy ne pouvait pas affaiblir la position de la France parce que la France n’avait pas de position. La France a navigué à vue, sans doctrine, sans vision, sans boussole. La seule boussole du Président de la République, c’était M. Tsipras, et il le lui a bien rendu.
Maintenant, François Hollande demande à l’Assemblée nationale de soutenir un accord auquel M. Tsipras lui-même ne croit pas. Avouez que l’exercice est difficile ! Notre groupe attend le vrai, le seul rendez-vous qui compte, celui de l’accord définitif avec la Grèce, que votre gouvernement devra nous soumettre.
En ce qui me concerne, en conscience et en responsabilité, je voterai pour…,…