Nous répondons aujourd'hui à une anomalie, l'existence des intermittents, qui a perduré malgré la loi de 1992, laquelle n'a pas complètement supprimé ce statut particulier.
Contrairement à ce que l'on peut imaginer, le métier de docker est très difficile, très dangereux, et ce ne sont pas les CHSCT, dont le rôle est d'analyser les risques et de trouver des solutions, qui régleront cet état de fait. Il convient avant tout de faire travailler dans les ports des gens bien formés, et qui connaissent bien les risques inhérents à ce métier.
Cette proposition de loi est attendue par les dockers et recueille, à ma connaissance, l'assentiment de tous les syndicats.