Lorsque la collectivité remplit bien ses obligations, elle ferme l'aire accueil durant quatre à six semaines l'été afin de procéder à l'entretien annuel. La plupart du temps, cela ne pose pas de problème : les personnes concernées sont informées et elles s'organisent pour trouver un autre hébergement. Je n'ose pas imaginer ce qui se produirait dans l'esprit de nos compatriotes du voyage si nous étions dans l'obligation de trouver un accueil de substitution pendant cette période ordinaire d'entretien annuel. Cela deviendrait un droit exigible !
Le dispositif proposé revient à créer une aire provisoire quand l'aire officielle est fermée, ce qui me semble extrêmement dangereux.