Je veux me faire l'écho de l'inquiétude des apiculteurs de mon département de la Mayenne face à l'importante mortalité constatée l'hiver dernier. Le taux de mortalité moyen atteint près de 30 %, avec de fortes disparités selon les communes, dont certaines connaîtraient un taux de 100 %. Les comptages effectués par nos apiculteurs sont très précis. Ces mortalités importantes pourraient être consécutives à une pression très forte du varroa en 2014, même après un traitement conventionnel.
L'autre raison invoquée est que les colonies seraient trop faibles pour hiverner, parce que trop jeunes ou bien affaiblies par les nombreuses attaques des frelons asiatiques.