En tant qu'ancien producteur de poulet sous label, je trouve ce rapport très intéressant, car il nous permet de faire le point sur des sujets sensibles, comme la contrefaçon ou les accords internationaux.
Je trouve préoccupant le différentiel, de 5 % à 10 %, entre un produit sous signe de qualité et un produit standard, car le producteur ne touchera qu'une petite part de ce surcoût. Cela pose la question de la rémunération des producteurs, pour laquelle des progrès importants restent à faire.
Il est intéressant de noter, comme le montre votre rapport page 26, que l'essentiel des produits sous signes officiels de qualité s'adresse au marché local, et que les producteurs engagés dans une démarche de qualité sont plutôt dans une exploitation en forme sociétaire.