Nous avons également dérogé à la règle selon laquelle on ne peut préempter le budget de l'État au sujet de la CNIL, en indiquant, dans la proposition n° 25, qu'elle devait voir ses moyens humains renforcés, éventuellement par redéploiement, afin de développer le contrôle des algorithmes, notamment pour détecter les discriminations illicites.