Pour ce qui concerne le secteur public, l'étude prend de multiples précautions concernant l'anonymisation des données, et elle propose des procédures visant à limiter le risque de réidentification – je vous renvoie à la lecture de la proposition n° 33. Elle se contente en revanche d'une mise en garde générale et beaucoup plus souple pour ce qui concerne l'anonymisation dans le cadre du big data. Cette différence de traitement est-elle délibérée ? Quelles en sont les raisons ?