Je note que cette question a enflammé le débat depuis le début de l’examen de ce texte, mais d’une manière de plus en plus intense, puisque aucun amendement de cette nature n’avait été présenté en première lecture. En disant cela, je ne suis ni naïve ni fâchée. Mais ce sujet est suffisamment sensible pour ne pas mériter la caricature.
J’ai été accusée par M. Fasquelle d’être une sorcière – même s’il n’a pas employé ce mot –,…