Intervention de Denys Robiliard

Séance en hémicycle du 10 octobre 2013 à 15h00
Garantir l'avenir et la justice du système de retraites

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDenys Robiliard :

Je suis un peu surpris de votre argumentation, monsieur Poisson. Je comprends votre préoccupation mais, en l’occurrence, il n’est pas question du préjudice d’anxiété mais du critère de la faute inexcusable, qui est double : obligation de sécurité et de résultats de l’employeur – dans la nouvelle définition que lui donne la chambre sociale de la Cour de cassation – et connaissance du danger, du risque.

La fiche de pénibilité pourrait effectivement être intégrée dans cette dernière appréciation.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion