Je me félicite de la présence française en Irak et des visites que le Président de la République et vous-même y avez fait. Certains analystes estiment que des frappes aériennes ne suffiront pas à régler la question et qu'il faudra aussi des troupes au sol ; qu'en sera-t-il ? D'autre part, combien d'otages sont détenus en Irak ?
Votre vision de la situation en Ukraine m'a semblé quelque peu optimiste, et les prises de position de M. Iatseniouk et de Mme Timochenko, pour attendues qu'elles puissent être, ne risquent-elles pas de rendre difficiles les élections législatives prévues fin octobre ?